Comme 1ère voiture, à 22 ans, il y a pire qu’une Alfa Romeo GTV6 🙂
L’histoire a commencé en 1991, j’étais en stage durant mes études, et un collègue me parle de sa voiture, qu’il met en vente : une Alfa Romeo Sprint rouge, un peu âgée, dans un état très moyen et à prix en conséquence. Je ne craque pas, mais je commence à m’intéresser à cette voiture, notamment sa descendance, la GTV qui existe en 4 et 6 cylindres.
Je passerai le cap début 1993, après le remboursement par l’assurance de ma Honda NSR 400 accidentée l’été précédent.
L’exemplaire que j’ai trouvé était donc une GTV6 rouge, dotée du kit « Production » commémorant la victoire en championnat de France des voitures du Team Snobeck.
Le propriétaire précédent avait retiré les autocollants (dont on voyait encore les traces, à cause du soleil) et remplacé les jantes Gotti par celles de la GTV6 « normale », dommage…
Sinon, c’était que du bonheur… Un V6 au son rageur et flatteur, un équilibre très correct, une consommation raisonnable eu égard à la conduite que j’avais, une ligne sympa…
Coté désagréments : j’ai pété le pignon de 2e en 1997, et j’ai du également changer tous les pistons et chemises (je consommais plus d’huile qu’une Trabant !). Et bien évidemment, comme toute italienne de cette époque qui se respecte, des « anomalies » récurrentes dans le circuit électrique !
J’ai gardé cette voiture jusqu’au début 1999, pour faire place à la Subaru Impreza !