Johann Corbel
9 août 2019, sur la RN 12. On m’intercepte pour une vitesse qui serait de 137 km/h au lieu de 110.
Je suis escorté par les motards jusqu’au point d’interception, et comme d’habitude, je me gare en travers, de sorte que le schtroumpf présent ne puisse lire ma plaque d’immatriculation.
J’ai donc droit aux conneries habituelles : « vous avez été contrôlé à la vitesse de 137 km/h blablabla… »
Réponse classique de ma part : « quelle est l’immatriculation signalée par vos collègues qui ont contrôlé une voiture à cette vitesse ? »
J’ai posé 3 fois la question, mais j’avais en face de moi quelqu’un qui n’en comprenait visiblement ni le sens ni l’intérêt.
N’étant pas certain que c’était mon véhicule qui était en infraction, j’ai naturellement refusé de reconnaître l’infraction, que j’ai contestée auprès des autorités pas tant que ça « compétentes » :
Réponse 6 mois après !
Le gars se croit juge, alors qu’il n’a pas la capacité de juger sur le fond. Il ne peut rejeter la contestation que si elle n’est pas régulière sur la forme (hors délai, pas de consignation, etc…)
Allez, rebelote !
Résultat : pas de retrait de points, comme la plupart du temps !
